Propositions de Carême
- Messe des veilleurs
Chaque jeudi de Carême à 7h en l’église de Montbonot (en remplacement de la messe de 8h à Saint-Ismier) suivie à 7h30 d’un petit déjeuner
- Chemin de Croix
Chaque vendredi de Carême à 12h15 en l'église de Saint-Ismier, suivi d’un pain-pomme à la maison paroissiale. Nous porterons dans cette prière les malades, prisonniers, abusés, familles en difficulté, personnes âgées...
- Visites Fraternelles à domicile
Un petit groupe de paroissiens propose des visites fraternelles aux personnes âgées, isolées, malades. N’hésitez pas à nous contacter pour vous-même ou pour toute personne susceptible d’être concernée. Elisabeth Martina 0681150145/ Isabelle Robino 0620573424/ Odile de Vallée 0663570853
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Jeudi 27 mars 2025 - Conférence-réflexion pour adultes sur l'année jubilaire
« Une année de grâce accordée par le Seigneur » par le Père Antoine Katembo, en l’église de Saint-Ismier, le jeudi 27 mars, de 20h30 à 21h45.
Vendredi 28 mes 2025 - Journée annuelle de mémoire et de prière pour les personnes victimes d'agressions sexuelles
La journée annuelle de mémoire et de prière, voulue par les évêques de France à l’issue de l’Assemblée plénière de mars 2021, prend désormais place dans le calendrier liturgique de façon pérenne, le troisième vendredi de Carême. Elle répond à l’invitation du pape François à vivre une journée de prière pour les personnes victimes de violences sexuelles et d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église.
En 2025, elle aura lieu le vendredi 28 mars. Dans notre paroisse le chemin de croix de 12h15 en l'église de Saint-Ismier sera celui proposé par les évêques de France. Une intention de prière universelle sera également lue à la messe du dimanche 30 mars .
« 24 heures pour le Seigneur »
Cette année en raison du pèlerinage du doyenné, le programme sera plus restreint :
Vendredi 28 mars en l’église de Saint-Ismier :
- 18h00 : Vêpres
- 18h30 : Messe suivie d’un pain-pomme
- 19h30 à 22h00 : Adoration et Confessions
- 22h00 : Complies Cf. suite pèlerinage doyenné
Samedi 29 mars 2025 - Pèlerinage ANNEE JUBILAIRE en doyenné
Pèlerinage ANNEE JUBILAIRE en doyenné pour toutes les générations de Montbonnot à la cathédrale de Grenoble amedi 29 mars 2025
- 8h30 Prière des Laudes et introduction à la démarche jubilaire en l’église St Nicolas Montbonnot
- 9h15 Départ à pied vers Grenoble avec étapes spirituelles (environs 7 kms)
- 11h30 Temps de prière avec les autres paroisses du doyenné en l’église Saint-Ferjus à La Tronche
- 12h Poursuite de Saint-Ferjus La Tronche à Notre-Dame Grenoble
- 12h45 Déjeuner partagé à la Maison Diocésaine
- 14h Visites possibles du baptistère ou des lieux saints autour de la cathédrale - Démarche jubilaire dans la cathédrale - Confessions
- 16h Messe anticipée unique à la cathédrale (4e dim de Carême) pour toutes les paroisses du doyenné
Possibilité de rejoindre le groupe aux différentes étapes
Mardi 1er avril 2025 - Année diocésaine de l'écoute - Consultation diocésaine à Bernin
D’ici Pâques 2025, nous sommes invités à repérer concrètement les lieux, évènements, groupes, réalités porteurs de vie et qui annoncent l’évangile, et dont nous voulons faire des priorités pour notre paroisse, mouvement, école, équipe, doyenné, diocèse.
A Saint Martin du Manival, nous pourrons participer à cette grande consultation diocésaine, soit le jeudi 6 février 2025, de 20h à 22h15, en l’église de Montbonnot, soit le mardi 1er avril 2025, de 20h à 22h15, en l’église de Bernin. Merci déjà de noter ces dates pour être au rendez-vous des choix que nous aurons à faire pour les prochaines années.

Chaîne de prière fraternelle dans les maisons - Mars/Avril : Biviers
Chaîne de prière fraternelle dans les maisons
Une icône du Christ passera tout au long de l’Année Sainte chez les personnes qui le souhaitent pour vivre une chaîne de prière dans la paroisse. Elles pourront proposer d’ouvrir leur maison pour un petit temps de recueillement organisé durant la semaine.
L’icône changera de maison à la fin des messes dominicales y compris le samedi soir. En mars et avril cette chaine de prière est proposée particulièrement aux habitants de Biviers.
Vous pouvez vous inscrire pour accueillir l'icône chez vous via le lien, ci-après : https://framadate.org/IRXYyunzrJ5ectZ4, .
Si vous avez des questions vous pouvez contacter directement Clothilde Fabre : cl.fabre38@gmail.com
Art & Rencontre : à vos agendas
L’Equipe Art et Rencontre sera heureuse de vous retrouver.
- SAMEDI 12 AVRIL 2025 à 14H 45 A travers l’église Saint Jean-Baptiste de Tencin : La vie et l’oeuvre d’un curé artiste : l’Abbé Calés (1870-1961)
- MERCREDI 16 AVRIL 2025 nous visiterons le Musée d’Histoire et d’Archéologie de l’Alpe d’Huez et nous découvrirons l'église Notre-Dame des Neiges
Retrouvez tous les détails sur la page Art & Rencontre du site
Il est vénéré à Montbonnot depuis le XIème siècle en raison du passage de l’Isère jadis fréquentée par des bateliers pour desservir la vallée du Grésivaudan. Il est né vers 270 à Patare en Asie mineure, de parents chrétiens. Après avoir été ordonné prêtre, il devient évêque de Myre et prit immédiatement sa charge à coeur. Il participa au concile de Nicée en 325 où il combattit l’arianisme. Il lutta fermement contre l’idolâtrie et les hérésies. Il mort vers 350 et son tombeau devint rapidement un lieu de pèlerinage. Lorsque les turcs conquirent la ville de Myre, au XIe siècle, les reliques furent déplacées jusqu’à Bari (Italie), où elles sont encore aujourd’hui très vénérées. C’est à cette époque que son culte se répand en occident. De nombreux miracles lui sont attribués, d’où la célèbre histoire des trois enfants sauvés d’un boucher cruel (représentée par le vitrail au dessus de la porte de l’église de Montbonnot). Lors du déplacement de ses reliques à Bari, le miracle de la tempête apaisée lui vaut d’être aussi le patron des marins et des voyageurs. Il est fêté le 6 décembre particulièrement avec les enfants.
Elle avait de la famille du côté de son père au Rachais à Meylan, côté Montbonnot. Elle est née à Grenoble en 1769 dans une famille de la haute bourgeoisie.
Elle entre comme postulante, à 19 ans, au couvent des visitandines de Sainte-Marie d’en haut, malgré l’opposition de son père. Lorsque la révolution française éclate, le couvent est dispersé ; sainte Philippine se consacre alors à l'éducation des enfants et aux soins des plus pauvres, des prisonniers et des prêtres réfractaires. Après le concordat de 1801 elle rachète le couvent abandonné et après avoir rencontré Mère Marie-Sophie Barat en 1804, elle fait venir quelques soeurs de la nouvelle congrégation du Sacré-Coeur.
A 49 ans, elle se porte volontaire pour partir en mission dans le Missouri puis en Louisiane où elle fonde plusieurs écoles et diffuse la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus.
A 72 ans malgré son état de santé fragile, elle se rend auprès des Indiens, sur leur territoire au Kansas. Sainte Philippine a marqué les esprits des Indiens puisqu’ils la surnommaient “la femme qui prie toujours”. Elle mort le 18 novembre 1852, à l’âge de 83 ans, sa dépouille repose dans la chapelle de son sanctuaire à Saint-Charles. Elle est aussi vénérée à Grenoble dans la Collégiale Saint-André, l’église qu’elle fréquentait lorsqu’elle habitait dans la grande rue. C’est une belle figure chrétienne féminine à découvrir ou redécouvrir.
Il était vénéré dans la paroisse voisine Saint-Martin-de-Miséré (autour du prieuré) avant l’union de celle-ci avec Montbonnot en 1851. Il fait figure d’allégorie dans la foi chrétienne du bien victorieux du mal. Il serait né vers 275 à Mazaca (aujourd'hui Césarée en Turquie). À quinze ans, il devient officier de l’armée romaine à Nicomédie. Son habileté et sa sagesse firent sa renommée. En 303 l’empereur Dioclétien émit un édit donnant l’ordre de détruire les églises et de persécuter les chrétiens. Il remit alors son glaive en signe de démission. En passant par Lydda, il entend parler d’une bande de pillards perses qui terrorisait la région, dirigée par un certain Nahfr, dont le nom signifie “dragon”. Il tue le dragon d’un seul coup d’épée et capture le reste de la troupe. L’empereur Dioclétien lui ordonne alors d’offrir un sacrifice aux dieux païens. Il refuse et doit subir d’atroces tortures mais chaque fois il survit miraculeusement. Ces « résurrections » entraînent de nombreuses conversions. Il mort en 303, le 23 avril maintenant jour de sa fête. Il est inhumé à Lydda. Saint patron des cavaliers,